Les abeilles sont à la fois des pollinisateurs essentiels pour notre alimentation et un symbole de biodiversité (près de 1 000 espèces sauvages en France). Les objectifs à INRAE sont de mieux comprendre les pressions sur ces populations et de trouver des solutions sur le terrain, en conciliant production apicole, agricole et préservation des pollinisateurs. Ce dossier aborde l’essentiel des enjeux de recherche autour des abeilles à travers de nombreuses disciplines, en passant par l’écologie, la toxicologie, la génétique ou encore la sociologie. Il est publié depuis le 26 juin 2024 et accessible via ce lien.
Les travaux de thèse de Léo Mouillard-Lample, encadré entre autres par Cécile Barnaud figurent dans l'encart "Composer avec son environnement " (page 13) ainsi que les travaux de thèse de Justine Rivers-Moore encadrée entre autres par Emilie Andrieu et Annie Ouin figurent dans l'encart "le rôle essentiel des habitats semi-naturels" (page 17).

Pour accéder au dossier en ligne de 19 pages c'est ICI
Pour revoir la conférence de presse:
Floriane Clément et Claire Chauchard ont participé lundi 24 juin au séminaire "Transitions agro-écologiques" organisé par l’atelier 5 du laboratoire LADYSS, afin de présenter le projet COTERRA ainsi que le stage de Claire articulant coopérations locales et politiques publiques agricoles.
Croisant les perspectives de plusieurs projets de recherche, ce séminaire était l’occasion d’échanger sur la façon dont les acteurs territoriaux intègrent et s’approprient la notion de transition agroécologique d’un contexte géographie à l’autre et sur le travail qui peut être engagé avec ces derniers autour de ces questions de transition agroécologique.

Le projet PREPARE auquel Dynafor a participé dans le cadre des recherches à long cours du réseau SEBIOPAG a été présenté le jeudi 20 juin lors du colloque de restitution finale de l’APR "Leviers territoriaux pour réduire l’utilisation et les risques liés aux produits phytopharmaceutiques" au Ministère de l’Agriculture à Paris.
Pendant cette journée, ont été discutés les résultats de huit projets qui ont étudié, pendant 3 ans, les processus, biologiques et écologiques, institutionnels, technico-économiques, sociaux et organisationnels ou relevant des méthodes culturales dont l’efficacité peut être dépendante du taux d’adoption à l’échelle d’un territoire.
























