J'étudie le rôle de la forêt rurale (les bois et leurs lisières, les bosquets, haies et arbres isolés) et de sa dynamique sur les communautés (espèces et traits biologiques), sur les processus écosystémiques et sur les services écosystémiques dans les paysages agriforestiers. Avec mes collègues A. Ouin, M. Ollivier et A. Vialatte, Je cherche à comprendre comment les éléments arborés influencent la structure des communautés d'abeilles sauvages, en complémentarité avec les autres éléments paysagers. Par des projets pluridisciplinaires, je reconstitue l'histoire de la forêt rurale et cherche les déterminants sociaux ayant conduit à la modification de la trame boisée dans le temps. Enfin, j'adapte la méthode d'inventaire des dendromicrohabitats aux arbres hors-forêts, qu'ils soient en zone rurale ou urbaine.

Ecologue du paysage et biogéographe, je m'intéresse à la biodiversité taxonomique, acoustique et fonctionnelle dans les paysages agri-forestiers et au rôle de l'hétérogénéité spatio-temporelle dans sa dynamique et sa conservation. Mes taxa de prédilection sont les oiseaux, les insectes (papillons de jour, carabiques, orthoptères) et les chauves-souris.

Je m'intéresse d'une façon générale aux relations entre les sociétés et leur environnement, et plus particulièrement aux relations entre acteurs au sujet de leur environnement (conflits d'intérêts, relations de pouvoir, négociation, concertation, action collective).

à venir

Je travaille sur les interfaces forêts-agricultures et plus particulièrement les arbres hors forêt.

Je travaille dans le cadre de l’open science où pour le département ACT, je suis en charge d’accompagner les collectifs vers les bonnes pratiques de gestion, de partage et d'ouverture de leur données.

J'utilise les outils de la géomatique et des systèmes d'information à composante géographique en appuie auprès de mes collègues chercheurs.

Mon travail vise à comprendre et accompagner les transitions agroéologiques dans les paysages agricoles, en utilisant des outils de l'agronomie et de l'écologie des paysages.
Je m'intéresse plus particulièrement aux processus écologiques et agronomiques qui opèrent lors d'une transition dans les systèmes de production, et comment ces processus s'expriment dans l'espace et le temps. Mon objectif est de créer des connaissances pour comprendre les contraintes écologiques et agronomiques lors de ces transitions, et comment les lever, par exemple via des gestions collectives des paysages agricoles.
Pendant mon postdoc et mon contrat de chercheur en Suède (Université de Lund), je me suis focalisé sur la transition à l'agriculture biologique et les processus écologiques que ces systèmes favorisent et mobilisent. J'ai notamment travaillé sur la conversation de la biodiversité (plantes-pollinisateurs), la pollinisation, le stockage du carbone dans les sols et la productivité des cultures.

Je m'intéresse à la mise en œuvre des politiques publiques environnementales, en particulier aux décalages entre les intentions et discours des politiques et les effets qu'elles produisent. Mes recherches s'inscrivent à la croisée des champs de la political ecology, de la feminist political ecology et des études des communs. Je mobilise des approches de recherche-action participative et des approches plus 'classiques' basées sur des entretiens semi-directifs, analyse de discours et analyse institutionnelle. J'apprécie particulièrement les collaborations interdisciplinaires. J'ai travaillé plusieurs années au Vietnam, en Inde et au Népal avant de rejoindre Dynafor en 2018.

J’ai pris mes fonctions à l’UMR DYNAFOR le 01 février 2021 en tant que responsable du service administratif.

Biodiversité dans les paysages agri-forestiers; Biodiversité forestière; Lisières agri-forestières; Systèmes socio-écologiques agri-forestiers; Agroforesterie

Avec une approche interdisciplinaire (biogéochimie et sciences humaines et sociales) j'effectue des recherches concernant la gestion durable des sols dans différents contextes (exploitations agricoles, jardins collectifs urbains ou sites pollués).
L'objectif est d'éviter la dégradation de ces écosystèmes par les activités anthropiques,
et de mieux comprendre les différents facteurs en faveur des services écosystémiques : réactions biogéochimiques, dynamiques écologiques, pratiques agroécologiques, processus de réhabilitation, éducation à l'environnement et évolutions réglementaires.

Je coordonne les partenariats avec les acteurs du terrain d'étude à long terme des Coteaux de Gascogne et je m'implique dans des projets de recherche-action tels que Sebiopag-PREPARE et COTERRA (enquêtes compréhensives, animation d'ateliers participatifs).

En tant que Maître de conférences en sciences des données, je dispense d'une grande partie des enseignements en informatique dans le cursus de formation des ingénieurs agronomes de Toulouse INP ENSAT. Mes cours englobent la programmation, le traitement et l'analyse de données dans le contexte des sciences du vivant, et visent à renforcer les compétences numériques des étudiants agronomes.
Parallèlement, mes travaux de recherche se concentrent sur l'élaboration de nouvelles approches basées sur les avancées en apprentissage automatique pour répondre à des défis spécifiques en agronomie et en écologie. Mon parcours a débuté dans le domaine de la télédétection et s'est progressivement orienté vers des développements méthodologiques, tout en conservant une forte impulsion issue des questions agronomiques et environnementales.

Ingénieur agronome spécialiste en géomatique et gestion de bases de données, je m’intéresse aux méthodes et outils pour la structuration, la mutualisation et l’interopérabilité des données spatialisées produites par la recherche, plus particulièrement sur les thématiques de la biodiversité et de l’écologie forestière.

Mes recherches se concentrent sur la compréhension des mécanismes qui régissent l'assemblage des communautés végétales dans les écosystèmes naturels et gérés, et sur leurs impacts sur la coexistence des espèces ainsi que la biodiversité. L'un de mes objectifs principaux est de déterminer comment l'application de ces connaissances peut significativement contribuer à améliorer l'efficacité des projets de restauration écologique, en prenant en considération les implications des changements globaux.

Je suis chargée des activités RH de l'UMR.

Je m'emploie à déterminer et développer les méthodes d’analyse et de traitement de l’information géographique, tout au long du cycle de vie de la donnée depuis sa collecte jusqu'à sa publication/valorisation, ceci à des fins de recherche scientifique. Je travaille à l’acquisition de données géolocalisées qui sont ensuite intégrées dans le système d’information de l'unité dont je gère la composante géographique.

Mes recherches portent sur la caractérisation de l'hétérogénéité spatio-temporelle des paysages agri-forestier à partir de données de télédétection. Je cherche à produire des indicateurs de l'hétérogénéité directement à partir du signal des images au lieu de passer part des cartes d'habitats ou d'occupation du sol. Ces indicateurs peuvent être issues de données à très haute résolution spatiale et tirent partie du haut niveau de détails des images, de données à très haute résolution spectrale permettant d'accéder à la structure et la composition chimique foliaire de la végétation, ou encore de données à haute résolution temporelle pour rendre compte de la variabilité temporelle. Quelle que soit la source de données utilisées, l'enjeu est de produire des indicateurs stables (dans le temps) et interprétables en termes d'hétérogénéité afin d'améliorer notre compréhension du lien entre l'hétérogénéité des paysages, la biodiversité qu'ils hébergent et les services écosystémiques associés.

Conservation de la diversité des espèces dans les écosystèmes forestiers. Dendromicrohabitats, des structures de petite taille portées par les arbres et qui servent de lieux de nutrition, de reproduction, d’hibernation pour des insectes, des mammifères, des plantes, des champignons, des vers, etc. Indicateurs de biodiversité taxonomique: co-concepteur de l’Indice de Biodiversité Potentielle (IBP), un outil pour faciliter la tâche des gestionnaires de forêts soucieux de mener une gestion intégrative.

Mes recherches portent sur la compréhension des interactions entre les sociétés humaines (des perceptions / comportements individuels aux politiques publiques) et leur environnement. J’utilise ainsi des outils de cartographie participative et de modélisation prospective en mobilisant une approche critique. Plus récemment, la question de la condition animale et de l’impact des régimes alimentaires sur les territoires s’est posée dans un contexte de crise environnementale globale.

Mes travaux visent à comprendre l'effet des pratiques agricoles et à plus large échelle de la structure et la composition des paysages sur les communautés d'abeilles sauvages. Nous nous appuierons sur une approche par métabarcoding ADN, une base de barcodes de référence pour les Apoïdes Apiformes est en cours d'élaboration.
Par ailleurs, j'ai travaillé à la conception d’outil (morphologiques et moléculaires) afin de faciliter l’identification des charançons du colza et de leur parasitoïdes dans une visée de lutte biologique par conservation. Mes travaux de thèse ont portés sur 1) l’étude des processus éco-évolutifs pouvant être l’origine de l’invasion du laiteron maraicher (Sonchus oleraceus) en Australie, et 2) la conception d’une approche innovante pour soutenir la sélection des agents de lutte biologiques présentant un minimum de risque via l’analyse des réseaux d’interactions écologiques.

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Mes travaux de recherche s’insèrent dans le champ de l’écologie du paysage. Je travaille particulièrement sur les éléments semi-naturels des paysages agri-forestiers (bois, haies, prairies) et leur intérêt pour l’agriculture via les services écosystémiques associés à l’entomofaune (protection des cultures, pollinisation). Les lisières forêt / agriculture sont des éléments clefs dans les processus écologiques assurant les services écosystémiques.

Je suis enseignant-chercheur et mes recherches se concentrent sur l’observation des milieux naturels à l’aide de données de télédétection.

J’ai rejoint l’unité Dynafor en 2019 après plus de 20 ans de recherche en Génétique et Amélioration des Plantes. Mes premiers objectifs ont été de développer des bases de barcodes de références des abeilles sauvages de France et d’Occitanie. A l’heure actuelle je m’ investis dans la mise au point de méthodes d’identification non létales des pollinisateurs par génomique environnementale (ADNe).

Maître de Conférences à l’INP-ENSAT, mes travaux portent sur la télédétection des milieux semi-naturels et le suivi de la biodiversité à partir d’images. Je m’intéresse également à la modélisation dynamique de systèmes socio-écologiques.

Mes travaux de recherche visent à comprendre les effets des changements globaux sur les paysages, la biodiversité et les services écosystémiques, notamment dans les paysages agricoles soumis à l’intensification ou à l’abandon, et à fournir des connaissances pour l'action publique en faveur de la biodiversité. Ces travaux sont ancrés en écologie des paysages et écologie des communautés, mais font également appel à des approches interdisciplinaires avec l'économie, la géographie sociale et la télédétection. Je m’intéresse notamment au rôle de l'hétérogénéité des paysages agroforestiers pour la biodiversité, à la construction d'indicateur de biodiversité pour l'action publique et au rôle de la Politique Agricole Commune dans le déploiement de l'agroécologie à large échelle.

Je suis Chargée de Recherche au CNRS, anthropologue, affectée à l’UMR 7533 Ladyss et chercheure associée à l'UMR Dynafor. Mes recherches portent sur les dynamiques des interactions entre société rurale et environnement dans l’Hémisphère Nord (Région Occitanie en France ; Arizona aux États-Unis) cela dans le cadre de recherches pluridisciplinaires et comparatives. Je m’intéresse aux diagnostics et stratégies d’adaptation des sociétés locales aux changements sociaux et environnementaux sur des terrains de recherche au long cours (labellisés Zones ateliers ou OHM), engageant des réflexions sur les recueils, la comparabilité et la capitalisation des données qualitatives. Je travaille sur les mesures de la biodiversité, sur les indicateurs locaux de changement et sur les modalités de la rencontre de savoirs écologiques multiples à l’échelle locale. Dans ce cadre, je poursuis des travaux sur les paysages sonores comme révélateurs des transformations des sociétés et de leurs environnements.

Expert Entomologie forestière (Coléoptères) et Biologie de la conservation

Etude des relations entre la gestion forestière et l’écologie des communautés de coléoptères saproxyliques.

Je mène des travaux de recherche en écologie dans les paysages agricoles, dans le contexte de l’agroécologie, qui visent à analyser les facteurs paysagers favorables au contrôle biologique des bio-agresseurs des cultures.

Collecte des données écologiques et plus particulièrement des relevés botaniques dans le milieux semi-naturels (cultures, haies, lisières, prairies...).
Conduite d'enquêtes auprès des agriculteurs pour connaître leur pratiques culturales.

Je suis éditrice au sein de l'unité département ACT. Toutes mes activités sont en lien avec la publication scientifique. En voici des exemples : j'interviens pour des apports en information scientifique et technique (choix de la revue, autorat, Open access...) lors des ateliers publications assurés par le RAAP (réseau des animateurs d'ateliers d'appui à la publication), j'apporte également un appui/conseil aux chercheurs ACT pour la publication d'ouvrages. Enfin, je suis secrétaire de rédaction de la revue Natures Sciences Sociétés, revue interdisciplinaire soutenue notamment par le département.