Dynafor effectue ses recherches sur différents sites d’étude en fonction des besoins des projets et des partenariats. Parmi les nombreux sites en France, deux sont privilégiés : les Pyrénées et les Vallées et Coteaux de Gascogne. Dynafor intervient également à l’échelle européenne et internationale sur différents continents.
Dynafor effectue ses recherches sur différents sites d’étude en fonction des besoins des projets et des partenariats. Parmi les nombreux sites en France, deux sont privilégiés : les Pyrénées et les Vallées et Coteaux de Gascogne. Dynafor intervient également à l’échelle européenne et internationale sur différents continents.
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Ollivier Mélodie
Écologie des interactions, Entomologie
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EN BREF
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En tant que Maitre de Conférences à l’INP-ENSAT, j’interviens dans des enseignements d’entomologie appliquée à l’agriculture dans les trois niveaux du parcours d’ingénieur agronome (majoritairement en spécialisation ABSV) et dans le DNO (Diplôme National d’Œnologie). Dans le cadre de mes activités de recherche, je suis associée à l’UMR Dynafor et mes recherches portent actuellement sur la conception d’une base de barcodes ADN des pollinisateurs sauvages de France (Apoïdes et Syrphes), en vue d’étudier leurs dynamiques en contexte de fragmentation du paysage et de bouleversements climatiques.
FORMATION
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J’ai effectué ma formation à AgroCampus Ouest (Rennes), en me spécialisant en protection des plantes et environnement. Grâce à une année interstitielle, j’ai pris part à des projets transdisciplinaires autour de la lutte biologique par conservation et la caractérisation de la biodiversité botanique et entomologique, en intégrant l’ONF-LNEF (11), le CIRAD (974), et le CSIRO (AUS). Mon projet de fin d’étude, réalisé au CBGP de Montpellier, a quant à lui porté sur la conception d’outil morphologiques et moléculaires afin de faciliter l’identification des charançons du colza et de leur parasitoïdes dans un objectif de soutien du service de régulation naturelle.
Enfin, mes travaux de doctorat ont eu pour objectif 1) l’étude des processus éco-évolutifs pouvant être l’origine de l’invasion du laiteron maraicher (Sonchus oleraceus) en Australie, et 2) la conception d’une approche innovante pour soutenir la sélection des agents de lutte biologiques présentant un minimum de risque via l’analyse des réseaux d’interactions écologiques. Cette thèse a été réalisée au CBGP et au CSIRO European Laboratory (Montpellier) via une collaboration entre Montpellier SupAgro et le CSIRO Ecosciences precinct (Brisbane, AUS), et a été soutenue en juin 2020. Aujourd’hui encore, j’entretiens des échanges réguliers avec des collaborateurs de SupAgro et du CSIRO sur les différentes facettes de mon activité.
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