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Toulouse INP et deux laboratoires associés (DYNAFOR et l'IRIT) ont obtenu une « Chaire de Professeur Junior », en collaboration avec le CNRS et INRAE pour une durée de 5 ans. Cette chaire va s'ouvrir fin 2025 à Toulouse INP sur le thème de la "modélisation et apprentissage automatique pour l'agroécologie" (IA, modélisation, télédétection, agronomie...). Cette thématique est assez large et peut correspondre à des personnes venant du monde des sciences des données et du traitement des images, intéressées par l'agroécologie spatialisée comme domaine d'application privilégié. Elle s'adresse aussi à des agronomes / agroécologues ayant une bonne expérience en modélisation (statistique, mécaniste) spatialisée.

La chaire correspond à un contrat d'une durée maximale de 5 ans, avec une charge d'enseignement réduite, et un budget d'environ 200k€, permettant de financer les activités de recherche (thèse, stages, équipement, fonctionnement...). Au terme des 5 ans, la chaire sera transformée en position permanente au rang de Professeur des Universités.

Elle est donc adaptée à des personnes ayant déjà 3 à 5 ans d'expérience en poste après la thèse et dont le dynamisme permettrait de prétendre à un poste de Professeur à la fin des 5 ans, en supposant l'HDR soutenue. Elle est aussi ouverte à des personnes titulaires de l'HDR. Dans ce cas, en fonction de l'expérience, la durée de la chaire pourrait être réduite à 3 ans.

Selon le profil du lauréat ou de la lauréate, 2 rattachements sont possibles :

- à l'INP-AgroToulouse (enseignement) et à l'UMR DYNAFOR (recherche) [correspondant : David Sheeren]

- à l'INP-ENSEEIHT (enseignement) et à l'UMR IRIT (recherche) [correspondant : Nicolas Dobigeon]

Quel que soit le rattachement, l'objectif est que la personne contribue à créer de la synergie entre les deux écoles et les laboratoires, dans le cadre de la création d'une nouvelle formation transversale associée.


En cas d'intérêt pour la chaire, vous pouvez contacter : nicolas.dobigeon[at]inp-toulouse.fr et david.sheeren[at]inp-toulouse.fr.

Date de fermeture des candidatures : 22/08/2025

Les auditions sont prévues dans le courant du mois d'octobre pour un recrutement en fin d'année 2025.


Laurent Larrieu, en tant que support scientifique général, a participé à la rédaction d'un rapport intitulé « Importance du bois mort pour des forêts vivantes et plus résilientes ». Il s’agit d’une expertise collective appelée DeadWood4Forests, coordonnée par l’Université de Liège. Elle avait pour but, dans le cadre du projet 108 “Soutenir la régénération de forêts résilientes (aspects recherche et formation) » du plan de relance de Wallonie, de :

• faire la synthèse des connaissances sur les enjeux biologiques du bois mort dans et pour les forêts de production, notamment pour améliorer la régénération forestière,

• analyser l’état de la ressource et des perceptions en Wallonie,

• évaluer les impacts écologiques et économiques de la réservation de volumes de bois à la nécromasse,

• proposer une stratégie, des itinéraires techniques et du contenu pour des formations pour sensibiliser tous les acteurs de la filière-bois.


Dufrene M., Blervaque I., Bussers M., Collard Y., Coppée Th., Crespin A., de Wouters Ph., Larrieu L., Lehaire F., Royen L., Simon N. et Vandenbergh A. (2025) Rapport final du projet DeadWood4Forests : Importance du bois mort pour des forêts vivantes et plus résilientes. ULiege – CNPF – Ter-Consult – Forêt.Nature – SRFB, 275 pp. Lien de téléchargement du rapport


Antoine Brin; Jean-Philippe Denux; Jean-Marie Savoie; Véronique Cheret; Marie Parrens; Lionel Valladares; tous enseignants-chercheurs à l’Ecole d'Ingénieurs de PURPAN ainsi que Michel Goulard (chercheur à Inrae, parti récemment à la retraite) ont fortement participé à la rédaction du premier numéro de Cultures (P). qui est le nouveau magazine de vulgarisation scientifique de l'école. Ils y racontent leurs travaux de manière simple et accessible.

Le magazine est en accès libre via ce lien Calameo et fait une vingtaine de pages avec ces 6 courts articles parlant des travaux dynaforiens.

Et pour finir la vidéo de l’interview d'Antoine Brin, enseignant-chercheur en écologie, sur l’effet de la fragmentation des forêts sur les champignons. Une plongée passionnante dans un sujet méconnu, expliqué avec clarté, pour les curieuses et curieux. « Le vieil adage de la microbiologie qui stipule que “tout est partout, mais l’environnement sélectionne” se retrouve ainsi remis en question. » est quant à elle accessible via ce lien LinkedIn.

Longue vie à Culture(s) P. !

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